Forum de roleplay dans l'univers d'alien vs predator. Pour le forum il y a un thème par espèce, donc ne pensez pas que ça ne porte que sur l'espèce du thème actuel. |
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| L'antre de la nuit. | |
| | Auteur | Message |
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Phoenix
Messages : 91 Date d'inscription : 04/11/2010 Age : 30
| Sujet: L'antre de la nuit. Dim 5 Juin - 23:34 | |
| La naissance d'une creature de la nuit.
XXBom Bom, Bom Bom. C’est le bruit que je ne cesse d'entendre depuis que la capacité de penser me fut octroyée .Les ténèbres règnent en maître sur ce lieu. Il fait chaud, cela me réconforte,cela me fait me sentir chez moi. Les vibrations sont de plus en plus fortes. J'ai l'impression d'être sous la menace de ces dernières. Je tente de remuer, de gigoter mais je ne parviens pas à me dégager. Je suis oppressé, comme prisonnier dans plusieurs objets informes et mous. Ces derniers sont parcourus de soubresauts, comme si un liquide circulait à l'intérieur à allure variable. Des cris se font entendre tout autour de moi, j'ai l'impression que ma tête va imploser. Rien de mon cauchemars ne s'arrête. Il faut que je me réveil. Je griffes tout ce que je peux, je mords tout ce qui peut l'être. Je suis comme parcourue d'une frénésie incontrôlable. Un fluide s'écoule de toutes les plais que j'occasionne,un fluide chaud. Quelques gouttes parviennent dans ma bouche, cela fait tellement de bien. Je continues encore et encore, lacérant tout sur mon passage jusqu'à ce qu'un courant d'air effleura ma tête.
XXSa y est, les liens de ma prison sont enfin rompues. Ma liberté à peine recouvrée, je ressens des présences toutes autours de moi. Ces corps semblent vide de toute vie, morts. Rien ne me dit qu'une quelconque menace se trouve à proximité de moi. J'abaisse donc ma garde tout en m'éloignant de l'être qui à permit ma libération. J’atterris sur une surface dure et froide. Un gros choc comparé à ma première résidence. J'avance lentement,me permettant de prendre connaissances de mas aptitudes à me mouvoir. Après plusieurs temps de marche, je commence à ressentir une fatigue excessive. L'air se réchauffe au fur et à mesure que j'approche d'un grondement sourd. Mes pas se font de plus en plus onirique tandis que le réconfort d'un point chaud envahie mon cœur. Lorsque ma destination fût enfin atteint, les ténèbres m'envahirent sans que je puisse agir. Je sens tout mon corps qui s'abandonne dans une chute macabre, ne me laissant pas maître de moi-même.
XXJe suis dans le noir intégral mais je ressens une vive douleur comme jamais je n'eût ressentie. Mes os me font horriblement souffrir, j'ai l'impression qu'ils vont sortir de moi-même sans laisser le temps à ma peau de s'agrandir. J'entendais des craquement de partout tandis que j'étais parcourue d’effroyable contorsions sans pouvoir émettre le moindre cri .Je sentais mon ossature se renforcer, je les sentais qui me paralysai, qui me rongeai de l'intérieur. Lorsqu'enfin ma douleur s’atténua, ce fût au tour de mon dos, je sentait plusieurs protubérances qui cherchais à percer ma nouvelle peau, c'est comme si mon organisme cherchait à me détruire, comme si j'étais un virus qu'il se devait d'éliminer. De plus en plus mon mal s'accentua, de plus en plus les protubérances prirent de l'importance. Le noir laissa place au néant, la douleur était telle que je m'évanouis. Lorsque, de ma torpeur je me releva , un cri sortit enfin de m bouche, le cri d'un nouveau prédateur retentit.
Un peu court, mais c'est seulement une introduction donc voilà =) | |
| | | Phoenix
Messages : 91 Date d'inscription : 04/11/2010 Age : 30
| Sujet: Re: L'antre de la nuit. Dim 26 Juin - 20:10 | |
| Une creature pas comme les autres.
XXJe me sens plus robuste, plus fort qu'avant. Ma douleur m'avait donné toutes les armes dont un prédateur a besoin pour sa survie mais aussi pour la chasse. J'avais de puissantes pattes postérieures, musclé qui se finissaient comme mes pattes antérieurs par cinq griffes aussi aiguisées que possibles. J'étais grand, très grand, je dominais la plupart des créatures que je rencontrais à bord de ma tanière. Néanmoins, au travers de ces couloirs fin, lorsque mes instinct m'incitaient à poursuivre une proie, j'étais incroyablement stable, probablement grâce à ma queue. XXCela fait maintenant plusieurs jours que je me nourris avec les cadavre d'êtres pâles, pas très grand mais avec néanmoins beaucoup de chaires. Même si leur goût était abordable, j'en avait marre de manger ces corps dépourvues de vie ou tout autres petite créatures. Il me fallait un adversaire pouvant rivaliser avec moi, un adversaire digne d'être ma proie. C'est alors que des vibrations me parvinrent. En effet, une onde de choc m'avait traversée de part en part m'étourdissant l'espace de quelques instants. J'avais le devoir d'aller voir ce qui se passer, je devais comprendre qui serait assez fou pour tenter d'envahir mon domaine. Je me faufilais à travers les couloirs les plus tortueux. Marchant ainsi pendant plusieurs cycles, je m'arrêta pour me reposer, reprendre mon souffle.
XXSoudain, des sons me parvinrent. C'était la première fois depuis ma naissance que de tels bruits résonnaient dans mes oreilles. Dans un élan de surprise, je sauta pour m'agripper au plafond tandis que j’avançais le plus furtivement possible. Les vois se firent de plus en plus pressantes. Lorsque j'arrivais enfin à proximité je vis d'étranges formes se mouvoir, il ressemble en tout point à ce qui m'a donner la vie sauf que ceux-ci étaient capable de communiquer et de bouger.
XXIls étaient environs une dizaine. Mais seulement huit d'entre eux semblaient hostiles, seulement huit d'entre eux possédaient d'étranges machines. Je les suivaient pendant longtemps, étudiant leurs façon de bouger, leurs réactions aux bruits étranges. Ils étaient étonnement calme malgré mes petits cris et mes déplacement peu furtifs. Ils avaient un comportement qui ne me laissais pas indifférents, tandis que les créatures d’apparences peu hostiles bougeaient leur mains sur des machines complexes, les autres restaient sur place à les regarder, comme si ils se moquaient des autres. Je leur trouvaient beaucoup de défauts, mais un prédominaient sur les autres, ces êtres parlent beaucoup trop, ils ne savent jamais se taire pour écouter ou pour s'écouter. Ma pensée fût de courte durée du fait de la panique qui les saisies soudainement.
XXIls se mirent tous à courir partout venant et revenant sur leur pas. Six des hommes hostiles partirent dans un couloir, tandis que les autres continuaient à gesticuler. C'était une opportunité que je me devais de saisir, peut être qu'ils reviendrons vite, peut être que ceux-ci ont été abandonnés. N'ayant que peu d'informations sur ces créatures, je préféra m'attaquer au groupe le moins hostile. Je me faufila donc à l'intérieur de la même pièce qu'eux. Je me déplaça si silencieusement que je me surpris à avoir peur de ma queue qui se balladait devant moi.
XXLe moment était venue, le moment pour moi de changer mon régime alimentaire. La pièce était plutôt petite, il y avait beaucoup de machine est une métal qui semblait être transparents à la place d'un mur. Les hommes les plus impressionnants se tenaient vers la sortie alors que les autres leur tournais le dos. Je passais à l'attaque, j'atterris lourdement sur ma cible la plus grosse. Le bruit de chute fut terrible, son énorme masse fit résonner les métal sur lequel il est tombé me brisant ainsi les ouïes. Le temps que je me remette,mon second garde-manger se mit à crier dans un étrange appareil avant de me foncer dessus. Je m’élança à mon tour, pensant qu'il voulait me défier loyalement. S'était avant que mon épaule vola en éclat m'incrustant une terrible douleur et me faisant libérer un cri qui résonna dans toute la carlingue comme un cri de rage. Ayant compris ses intentions, je grimpas au plafond, courant aussi vite que je pus. Il semblait m'avoir perdu de vu, décidément, tandis que la liste de leur défauts s'allongea, j’atterris silencieusement derrière lui. Ouvrant grand la gueule, je laisses échapper un petit mugissement. Il avait à peine eu le temps d'ouvrir sa bouche que ma queue avait déjà transpercée son attelage. Je l'avait touché en plein milieu de la poitrine. Je n'avait néanmoins pas encore détruit ce qui battait le plus fort. Je voulais qu'il souffre pour la douleur qu'il m'a fait subir alors qui me trompa avec sa charge. L'extrémité de ma queue avança lentement, s'éloignant de plus en plus de la peau mais le rapprochant d'un destin fatal. Je voyais dans ses yeux la peine, la douleur tandis que du sang jaillit de touts ses pores. Je décida d’abréger ses souffrances, et d'un coup d'un seul, son cœur fut embroché et prêt à manger.
XXIl restait encore les trois autres individus, je m’approchât donc lentement d'eux. Bombant de plus en plus le torse je laissais échapper un cri de supériorité. Lorsque ma gueule vu à seulement quelques centimètre d'un des leur, je laissa sortir ma seconde mâchoire qui , dans un claquement d'os s'arrêta à quelques centimètres de lui. Je pouvais sentir son souffle chaud alors que je me retirais emportant avec moi les deux autres corps. | |
| | | | L'antre de la nuit. | |
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