Forum de roleplay dans l'univers d'alien vs predator. Pour le forum il y a un thème par espèce, donc ne pensez pas que ça ne porte que sur l'espèce du thème actuel. |
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| Un soldat pas comme les autres | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Un soldat pas comme les autres Ven 17 Juin - 2:56 | |
| Le froid...
Ce fut la sensation que je ressenti au moment même où j'ouvrai les yeux. Je n'étais pas dans les couchettes... mais sur le sol ! Je me levai en hâte. Le noir complet. Par reflexe, je mis ma main à ma ceinture pour y tirer mon pistolet. Malheureusement, je ne l'avais pas sur moi au moment du sommeil. La seule option pour moi était d'activer ma lampe torche. Pas de traces humaine. Pourquoi m'avoir tiré de mon sommeil ? Pourquoi m'avoir éloigné des compartiments d'hyper-sommeil ? Et surtout, oui surtout, qui l'avait fait ? Je décidai de retrouver mon chemin dans cette structure. Bien entendu, il était absolument indispensable de venir ici sans connaitre les plans de la station ! Malheursement, tous les couloirs ici se ressemblent... Je m'engageai dans un couloir plus large que les autres, car j'appercevai une faible lumière au bout. Arrivé à la moitié du chemin, un cri strident me perça les tympans. Je me retournai, affolé, cherchant d'où venait ce bruit. Une grille craqua au-dessus de moi. Je levai lentement la tête et apperçus, à travers les trous, des dents. Mais pas des dents de tapettes, de vrais dents ! Une mâchoire se dessina, puis une seconde, sortant de la première. Mon instinct me disait de fuir, et mes jambes étaient bien d'accord avec lui ! Je sprintai le long du couloir, et la bête ne mit pas logntemps avant de comprendre que sa proie s'enfuyait. Elle couru jusqu'à arriver au-dessus de moi en un temps record et se laissa tomber. Un petit saut en arrière me permit de l'éviter, et une rapide identification de la menace me fit comprendre que je n'étais pas de taille à l'affronter... pour le moment. Tête noire, corps noir, griffes noires, une longue queue, deux mètre à première vue et une bonne rangée de dent. Oh mon dieu, un Africain ! Mais qu'est-ce que je raconte moi ?! C'est pas le moment de faire dans l'humour ! La créature siffla de nouveau et se mit à quatre pattes, signe qu'elle allait attaquer. Sans crier gare, elle fit un magnifique saut. Par réflexe, je fis deux pas en avant et fis une roulade en-dessous de la créature. En me relevant, j'étais un peu étonné de ce mouvement, fait par inadvertance. La bestiole s'affala lamentablement sur le sol, encore plus surprise que moi. Le temps de reprendre des esprits, j'avais déjà fuis le long du couloir.
La lumière aperçut venait d'un bureau. Je fermai la porte et la barricadai avec une chaise. Vu le gabarit de la chose, je doute que ça la retienne, mais sait-on jamais, l'espoir fait vivre comme on dit. Par chance, le plafond ne donnait pas sur des grilles... mais le sol, si. Espérons qu'elle ne trouve pas ce passage... En fouillant un peu le bureau, j'ai trouvé un plan. Je me trouvais deux étages au-dessus de la salle d'hyper-sommeil, où sont rangées toutes mes affaires. Un explosion fit trembler la salle, et un couinement se fit entendre. J'ouvris à peine la porte, puis complètement. La bête n'était plus là. À la place, le sol complètement calciné, de l'acide commençant à ronger les murs et la porte, et des morceau du corps de l'intrus. Je levai la tête, pour appercevoir un descendant de Rambo, un célèbre personnage de film très ancien. Deux mètres trente environ, une peau recouverte de piève d'armure, un masque et des dreadlocks. Ah non, c'est finalement l'arrière-arrière-arrière petit-fils de Bob Marley. Enfin, elle m'a sauvé, c'est déjà ça. Je m'apprêtais à faire un pas en avant quand j'entendis un bruit de lame, très significatif. Je fis demi-tour et referma la porte... qui ne servait plus beaucoup à grand chose, car l'acide avait déjà percé de gros trous dedans. Une lumière bleue commençat à se former sur l'épaule de la créature. Ni une ni deux, j'arrachai une grille et me laissai tomber dans un petit conduit. Je me dépêcha de ramper le plus vite que je pouvais, avant d'entendre de nouveau une explosion. Les morceaux de la porte volèrent, et un d'eux attéri là où je me trouvais trentes secondes avant. Et bien sûr, comme un con, j'avais oublié le plan là-bas ! Bah, pas question d'y retourner. Je me débrouillerais bien tout seul. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un soldat pas comme les autres Sam 23 Juil - 5:20 | |
| Adieu, petite vie tranquille :
Ça faisait trois minutes. Trois putin de minutes que je rampais dans ces conduits sombres et humides. J'entendais parfois des cris lointains qui résonnaient. Je continuai un peu à ramper quand j'entendis des bruits de pas sous ma position. La peur commença à me gagner. Cette créature masquée était-elle juste en-dessous ? Si oui, m'avait-elle déjà repérée ? Je rampai le plus vite possible en essayant de faire le moins de bruit. J'espérai avant tout mettre un maximum d'espace entre elle et moi. Je soulevai une grille sur mon passage quelques mètres plus loin et... je tombai sur l'infirmerie. J'ai jamais autant eu le cul bordé de nouilles de toute ma vie bordel ! Je m'extirpai de là et replaça la grille dans un claquement sourd. Je me figeai, à l'écoute de n'importe quel son qui aurait pu m'avertir d'un quelconque danger, mais rien. Je regardai autour de moi. Tout ce que je voyais, c'était des lits, des rideaux blancs... et de la poussière. Beaucoup de poussière. Trop de poussière. Cet endroit n'avait pas été visité depuis très longtemps. La phramacie était ouverte, des boîtes entreposant sagement dedans. Malheureusement, les médicaments qu'elles contenaient favoriseraient sûrement plus la mort que la guérison de celui qui en prendra... Mais j'étais déçu. En venant à l'infirmerie, je pensais que je trouverai mes affaires. mais que nenni ! Mais je suis sûr et certain que mon sac est quelque part ici, dans cette station. Je poussai un bruyant soupir. Peut-être celui de trop.
La porte de l'infirmerie s'ouvrit. Je tournai la tête, effrayé par ce qui allait en sortir. Je vis un pied, humain. Ça me rassurait... jusqu'à ce que je vois une arme pointée vers moi ! Je me retournai pour trouver une issue, mais rien. Repartir par les conduits me prendrait trop de temps. Je me senti happé sur le côté, puis je me retrouvai dos au sol, les mains en l'air, un pied sur ma poitrine et un canon sur la tête.
? - Je veux savoir ton nom, c'que tu fous ici et pourquoi t'es seul ! Moi - Soldat Dylan. Je ne vois pas pourquoi je répondrai à votre deuxième question, et je suis pas seul. ? - Alors où sont tes amis ? Moi - J'ai dis que je n'étais pas seul, je n'ai jamais dis que j'étais avec des amis.
Il leva son pied de mon torse et m'aida à me relever :
Damon - Soldat Damon Price. Heureux de voir un autre survivant. Par contre, j'aimerais bien savoir comment t'es arrivé jusqu'ici. Moi - Dès que je me suis réveillé, j'étais seul. Je me suis donc fixé comme objectif de retrouver des survivants et, accessoirement, mes affaires. Malheureusement, quelques mètres plus loins je suis tombé sur une... grosse bêbête. Ou plutôt, elle m'est tombée dessus. Au sens propre, cette saloperie est arrivée par les conduits. Du genre pas commode le cafard. J'dirais même plutôt armoire. Ce truc est énorme, rapide, mais se laisse facilement avoir par une simple roulade. Dès que je l'ai évité, je suis parti me réfugier dans une sorte de... bureau je pense. Je l'ai barricadé avec ce que j'avais, et j'ai fouillé un peu et j'ai trouvé un plan. J'ai essayé de rejoindre la salle d'hyper sommeil, situé deux étages en-dessous de celui-ci. Puis y'a eu un BOUM! donc moi j'ai fais AH ! ,après j'ai ouvert la porte et là j'ai dis OH ! parce qu'il y avait un mec vachement bodybuildé et masqué, comme les catcheurs mexicains. Mais lui il avait un masque de métal, et il était armé. C'est d'ailleur pour ça que je suis retourné me planquer dans le bureau, puis j'ai rampé sous les conduits et me voila ici. Damon - Bon, on sait où sont les plans. Maintenant, va falloir retourner les chercher. Et tu viens avec nous.
Je sentais bien que négocier avec lui ne donnerait sur rien, j'tais donc bien obligé de me joindre à eux. Mais bon, ils sont armés et nombreux, je serais certainement plus en sécurité avec eux que tout seul. Les barricades de fortune furent enlevées avec beaucoup de précautions. Damon passa en premier, arme à l'épaule. Il fit signe que la voie était libre. Le premier à sortir fut le civil, puis le scientifique et enfin le soldat et moi. En arrivant près de l'escalier, je me retournai et me stoppa. J'aurai juré avoir vu quelque chose dans le noir. Je fis part de mes craintes au reste du groupe, mais tout ce que j'ai eu en retour c'est des moqueries. Pourtant, je mettrai ma main au feu que quelque chose était passé juste là... Nous montâmes les escaliers puis, quelques mètres plus loin, j'entendis e petit bruit caractéristique des grilles. Notre "ami" était de retour. Pour éviter d'affoler les civils, je me rapprochait discrètement de Damon. C'était sans aucun doute celui qui saurait le mieux garder son calme.
Damon - Qu'est-ce qu'il y a ? Moi - On est suivi. Damon - Et par quoi ? Moi - Un AGM. Damon - AGM ? Moi - Africain Grossièrement Muté.
Un autre escalier monté, une chose beige tomba du plafond. L'effet de surprise fut tel que Damon tira dessus sans réfléchir.
Damon - Qu’est-ce que c’est que ça ?! Moi - ‘tain ! J’ai eu la peur de ma minute ! ? - Il y a quelqu’un en bas ? Moi - Ouais ! ? - Bon il y a des escaliers si vous prenez vers la gauche là je pense. On s'y retrouve ok ?
Putin, encore et toujours des escaliers ! Pourquoi la téléportation n'existe pas ?! Je m'approchai de la chose. Ça ressemblait pas mal à une main, mais avec une longue queue à l'arrière. Je dirais 30 centimètres. Les pattes étaient recroquevillées vers le centre de la chose, avec des sortes de griffes au bout. Je détournai mon regard et me relevai pour monter rejoindre les autres. Il y avait là-haut un scientifique du nom de Coombes, ainsi que deux gardes et un scientifique. Coombes nous invita dans une salle afin d'être un minimum en sécurité et pour pouvoir parler tranquillement. Mais moi, je n'écoutait pas. Mon attention était entièrement portée sur le garde mal en point. Il disait avoir mal au ventre, mais il se tenait la cage thoracique. Il était blème et suait beaucoup. Il déglutissait aussi très souvent, comme si quelque chose le gênait. Le temps était passé assez vite, et Damon était bien déterminé à retrouver le plan. Il sorti en premier et nous redescendîmes.
Des voix résonnaient dans le couloirs. Des voix robotique. C'était des synthétiques ! Passé le coin du couloir, il y avait bien 5 synthétiques, dont un qui receuillait la "main". Un des garde se jetta devant eux, bras écarté, visiblement très bontent de voir des robots ici. "Embryon de xénomorphe détecté, élimination des humains aux alentours". Tous les robots tirèrent sur le pauvvre soldat qui se fit transpercer de part en part. Nous nous cachâmes derrière les coins des couloirs, Coombes et Damon de mon côté, le soldat, le garde et le scientifique en face. D'ailleur, en parlant du second garde, il hurlait de douleur, et une grosse chipolata lui sorti du corps dans un cri strident. Le scientifique tomba dans les pommes, et le soldat tira dessus avec son pistolet. De l'acide sorti du corps de la bestiole, rongeant rapidement le sol et le corps du garde. Pendant ce temps, les androïdes avaient arrêtés de tirer, ce qui nous permi d'entendre le claquement de lames et un cri d'un robot. Damon, Coombes et moi nous levâmes d'un seul coup, puis un sifflement nous alerta. Juste à temps pour voir la tête du soldat rouler sur le sol. En deux secondes, je m'étais retourné et je courais déjà dans les couloir, Coombes et Damon sur mes talons. |
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