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Forum de roleplay dans l'univers d'alien vs predator. Pour le forum il y a un thème par espèce, donc ne pensez pas que ça ne porte que sur l'espèce du thème actuel.
 
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 Lickers

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vaatirundas

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MessageSujet: Lickers   Lickers I_icon_minitimeMar 30 Aoû - 15:39

I N T R O



Un spasme parcouru mon corps. Puis un autre, encore et encore jusqu'a ce que je sois entièrement conscient. Les pétales s’ouvrent dans le silence, un son aussi visqueux que le liquide de mon œuf se produit quand je me détache du cœur qui m'a permis de vivre durant tout ce temps, enfermé. Je me dégourdi les pattes en faisant un tour, puis je remonte en haut du cœur. Je pose une patte sur une paroi, puis une autre, je mets mes autres sur le cœur pour me propulser. Je sens les phéromones d'une chose vivante à quoi je peux me raccrocher près de moi. Elle est grande, sur 2 pattes. Ses 2 autres sont rapprochés et tiennent un objet plat. Mon propre cœur envois des mini secousses qui se répercutent dans le sol et me parviennent comme des images. Je les vois parfaitement, elles sont très près. Je prends mon élan en l'espace d'une demi-seconde puis me propulse. En l'air je sens la chaleur de l'extérieur. Je ne l'imaginais pas comme ça.

Soudain, quelque chose de dur me stop net. Un mur invisible, fin, je ne l'avais pas remarqué. Mon désir de m'accrocher était tellement fort que je ne m'en étais pas rendu compte. Je suis sur la vitre, mon corps me permet de me coller partout. Je ne bouge plus, je laisse 5 secondes passer pour me repérer, l'endroit où je suis est large et une autre bête est enfermée avec moi. Des structures végétales le camouflent à la vue mais pas à mes sens. ELLE me regarde, ELLE me sent, ELLE a peur. JE suis un inconnu pour ELLE. Je me tourne lentement pour me retrouver le haut en bas. Je saute sur le sol parcourue d'objets en tout genre. Quand je marche dessus, ça craque dessous. ELLE me suit toujours du regard.

Les 2 créatures derrière le mur parlent. Je ne comprends rien. Je me prépare en prenant de l'élan. Un frisson de plaisir à accomplir mon devoir m'envahie, un pur bonheur d'avoir sa proie en face de soi et qui ne fait rien. Tout à coup, une corde collante surgit de la bouche de la créature vers moi. Je sautai sur le côté et m'accrochais à une des structures où ELLE était. Il y en avait partout dans la salle. ELLE ne bougeait toujours pas et recommença à m'attaquer. Sa langue n'était pas comme celle de mes frères. Elle bougeait partout, elle était aussi longue et parfois pendait. Je me mis à courir pour l'esquiver au moins 3 fois. A partir de ce moment là je me propulsai sur ELLE, sa garde était à 1 mètre de moi, là où j'étais il y a une demi-seconde. Le saut passa au ralenti, mon tube sortit en même temps et se fourra dans sa gorge, ma queue s'enroula autour de son cou.

ELLE sera bientôt morte.
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vaatirundas

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MessageSujet: Re: Lickers   Lickers I_icon_minitimeMar 30 Aoû - 19:52

N A I S S A N C E



Rouge, je ne vois que cette couleur. Je me suis enroulé sur moi-même dans cet espace étroit, je me déroule, je bouge. Une secousse se produisit. Je ne savais pas où j'étais, surement dans mon hôte, mais où ? Je ne connaissais pas un corps aussi étrange. L'intérieur était ... différent, mais le liquide qui s'écoulait à l'intérieur était toujours aussi délicieux. Je fis un rapide tour du propriétaire. Je voyais 3 organes bouger sans cesse. Un était gorgé de sang, l'autre se contentait de gonfler et de se dégonfler encore et encore. Une autre secousse. Je fus projeté sur une paroi fine en chair. Je tentais de me rapproché du cœur mais plus je m'approchais, plus les secousses et les bruits sourd venant de celui-ci étaient puissants. Un cri perça le silence de l'intérieur du corps. La Reine, je devais retrouver la Ruche. Je me détournais du cœur et entrepris de creuser dans la chair.

Je me mis devant la paroi fine de tout à l'heure, j'ouvris ma bouche et croqua dedans. Une secousse puissante se produisit, je continuais, jusqu'à atteindre des choses blanches ... les côtes. Je donnais des coups dedans avec mon petit corps, elles finirent par se fissuré, et par éclater. Les secousses se calmèrent quelques secondes puis reprirent de nouveau plus violement. Je mordis encore dans la chair, celle-ci était fine, je sentais l'air. Je reculai tout au fond du corps. Puis me propulsa en traversant la dernière couche, je poussais un cri. Ma première bouffée de cet air dispensable. Je tombais sur le sol, je me retournais et vis le corps inerte de mon hôte. Je regardais autour, tout était détruit, la barrière invisible et fine était brisée. La salle était plongée dans les ténèbres. Une lumière clignotait dans le coin opposé de la pièce.

J'avais faim, je me tournais vers mon hôte, c'était la seul source de nourriture dans les environs. J'ouvris la bouche, ma langue se jeta profondément dans le cadavre puis ressortis sanguinolente. Me mordais autour du trou que je venais de faire puis me jeta dans le cadavre pour me nourrir de l'intérieur. Mon envie de manger disparut bien vite, je ressortis une fois de plus de mon hôte. Par chance il était caché derrière des branches et des feuilles. Je me mis dans un coin de la salle et jetais un rapide coup d'œil aux alentours. L'odeur de la mort régnait. Je me blottis dans le coin et m'endormis aussitôt sans m'en rendre compte.


Un moment passa, j'étais à moitié conscient, je ne dormais que d'un œil. J'étais toujours dans le coin de la pièce mais celui-ci était devenu plus petit. Non, j'étais devenu plus grand. Je me levais lentement, le mur derrière moi était recouvert de fil visqueux et collant. Mes tubes dorsaux avaient travaillé pour tenter de me faire un abri durant mon sommeil. Je posai les mains sur les feuilles, puis releva la tête et mes jambes se dressèrent à leurs tours. Je me mis debout et m’aventura en dehors de ma cachette. Toute la salle semblait différente. Ma taille changeait toutes les proportions, même mon hôte était maintenant petit. Je marchais, jusqu’à arrivé en face de la vitre brisée en morceaux.

Je levais le pied droit et le passais de l’autre côté, puis je fis de même avec le gauche. Pour la première fois, je m’aventurais de l’autre côté. Je continuais à poser mes pieds l’un devant l’autre pour avancer. La lumière qui clignotait était au-dessus de la porte. Celle-ci était cassé et donc impossible à ouvrir. Je poussais un petit rugissement puis je mis un coup dans la porte avec ma tête, puis, je glissais ma main dans la fente que j’avais créée. Je tentais d’ouvrir la porte avec mes bras mais celle-ci était définitivement coincée. Je sentis des phéromones de l’autre côté, dans le couloir. Le bruit que j’avais fait les avait surement intrigués.

Je reculais puis je me mis à 4 pattes, une sortie s’offrait à moi, dans le sol. Je levais la main droite puis je la fis s’abattre sur une grille, le coup fut assez puissant pour que mon corps passe dedans. Ni une, ni deux, je me jetais dans le trou pour passer de l’autre côté. Le chemin étroit se divisait en T, je me concentrai et je sentis les phéromones de l’espèce étrangère de tout à l’heure. Ils étaient 3. Un s’était écarté du groupe pour voir se qui se passais derrière la porte. Je pris à droite et me glissa en silence en-dessous de lui. J’attaquerais au moment où il aura baissé sa garde.

L’étranger glissa sa tête dans la fente de la porte pour voir ce qu’il y avait de l’autre côté. Il soupira, puis recula. Il se tourna vers les siens pour dire quelque chose. Maintenant !

Je passais mes doigts dans les trous de la grille puis tira soudainement. Il tomba à la renverse et poussa un cri, en tombant, son poids l’aida à traverser à moitié le sol. Du coup, il se retrouva les jambes à l’étage plus bas. Il criait, ses amis avancèrent puis s’arrêtèrent. Ils avaient comprit que quelque chose n’était pas normal je reculais ma main puis la lança en avant, elle traversa facilement l’étranger. Du sang s’écoulait le long de mon bras et maculait sa tenue blanche. Ses cris cessèrent, Sa tête tomba en avant.

Ses amis prit de peur reculait. La gerbe de sang sous les grilles était allée jusqu'à leurs pieds. Il y avait pourtant environ 3 mètres entre eux et moi. Dans un élan meurtrier, je déplaçais la grille au-dessus de moi et me mis à leur niveau, je passais devant le cadavre et me mis sur les pieds. J’estimais que ça les intimidait plus que quand j’étais plaqué au sol. En me relevant, j’avais levé la tête lentement en faisant bouger mes lèvres. De la bave coulait le long de mon menton. Je laissais apparaitre mes dents blanches. Puis je me penchais légèrement en avant.

« - Ne bouge pas, peut-être qu’il préférera manger Lucien plutôt que de se jeter sur nous. Il ne put pas nous avoir à cette distance de toute manière.» dit un étranger.

J’ouvris la bouche lentement dans un cri strident. Un d’eux recula, mais ils restaient paralysés par la peur. J’analysais l’environnement autour de moi. Les murs était en deux partis et des tuyaux les parcourait tout le long. Le plafond était le reflet du sol s’il n’y avait pas ces lumières accrochées dans les coins.

Je laissais ma langue tomber, elle était molle, mais je la contrôlais. Les étrangers parurent surpris de la façon dont ma langue pendait jusqu’au sol. Celui qui avait reculé avant mis de nouveau un pied derrière. Je fis rentrer ma langue, puis je reculais la tête et la balança en avant en lançant ma langue solide dans la tête de l’étranger qui n’avait pas bougé. Et dans un mouvement éclair, je fis rentrer ma langue avant que le corps tombe à terre.

Il n’en restait plus qu’un, je rendis de nouveau ma langue molle. Il se retourna et commença à courir. Je me mis au sol et le poursuivis, en 5 secondes, il ne restait déjà plus qu’un mètre entre nous. Je me remis debout et lança ma langue dans ses jambes. Elle s’enroula autour de sa cheville gauche. Il tomba en avant. Il tenta de se relever mais j’avais déjà entrepris de le trainer jusqu’à moi. Je le trainais au sol lentement. En prenant le plaisir de le laisser crier de peur jusqu’à sa mort. Une fois qu’il fût assez près. Je l’attrapai et le retourna, dos au sol. Son visage était en sang, ses yeux écarquillé à la lumière laissait assez d’espace pour que je puisse admirer mon reflet.

Je levais mes mains puis je les abattis sur son ventre, puis je recommençais pour laisser ses intestins voir la lumière des néons. Il était mort en l’espace de quelques secondes. Une fois ceci fais je lui fis une décérébration. Je me retournai et me rapprocha du 2eme cadavre. De là je voyais mon premier meurtre. Je lançai ma langue molle d’un coup de tête horizontal. La tête du malheureux emprisonner entre 2 étages explosa.
Je me penchai sur l’étranger en-dessous de moi puis je mordis dans son ventre. Je fis ceci jusqu’à atteindre de cœur puis le mangea. Je me redressais, il était temps que j’aille à la Ruche.
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MessageSujet: Re: Lickers   Lickers I_icon_minitimeJeu 8 Sep - 20:44

T U E R I E




Je marchais depuis longtemps ... trop longtemps. Je ne pensais pas que la faim serait si forte après une demi-heure. Et l'envie de tuer l'était encore plus. Je longeais les vitres qui servaient à contempler l’espace depuis les limites de la station orbitale. Elles étaient faites d'un matériau résistant. Certains de mes frères que j'avais croisés à la Ruche m’avaient affirmés avoir tout essayé mais rien n'aurait pu briser ce verre spécial. En parlant de la station, celle-ci était ronde, son extrémité haute était finalisée en pointe longue de plusieurs centaines de mètres. Et l'extrémité basse se terminait en pointe moins longue pour stabiliser le tout. La Ruche s'y trouvait. Les vitres de là où j’étais étaient plates et non arrondie. En faite, la station était formée tel un fromage avec un quart en moins. Le peu de lumière de l'endroit où j'étais provenait de l'extérieur, du vide de l'autre côté des vitres.

Celui-ci était noir, profond, sans fin et parsemé de point lumineux qui changeaient toujours d'emplacement. Ce vide semblait silencieux, imperturbable, et il semblait aussi en avoir rien à foutre de ce qui l'habitait comme la Reine se fout parfois de certains drones. Une énorme sphère orange et rouge gâchait ce magnifique paysage. De elle aussi semblait émaner quelque chose d'imperturbable, mais cette fois-ci, c'était le bruit. Quand je la regardais, je voyais des choses bouger sur sa surface non vivable comme dans le vide.

La faim m'attaqua de nouveau, suivit de l'envie de tuer qui revint elle aussi en force. Me tirant de mes pensées, ma tête tourna à droite au croisement et mon corps suivit. Je replongeais dans le noir total, mes sens m’aidaient à y voir clair. De ces ombres émanait des cris de peur, de morts, de rage, de joie. Certains provenaient d'une race qu'un de mes frères avait qualifiée de "Chasseur". Elle était dangereusement armée, mortellement devrais-je dire. Me tirant une nouvelle fois de mes pensées, ce fut une odeur qui attira mon attention. Celle du sang, à ce moment, j'aurais pus croire que mon corps bougeait tout seul, il se dirigea à gauche en courant et j'y découvris un cadavre d'humain encore chaud. Son corps portait aucune marque de combat, juste une entaille profonde à la gorge. Mon envie de me remplir l'estomac me tirailla et ma tête finis par plonger dans le corps inerte.

Il me semblait effectivement avoir entendu un cri, mais celui-ci me passa au-dessus de ma tête comme une balle qui passe à cent mètre de sa cible. Tentant de me remémorer mes souvenirs, je réussis à repasser la suite de bruits provenant de cet endroit dans ma tête. Ca avait commencé par un cri de peur, un tir avait ensuite suivis mais celui-ci sembla ricoché sur les murs. Et effectivement, les murs portaient les marques d'une balle qui avait ricoché. Ca avait ensuite été le bruit d'une entaille et d’une giclée de sang partout dans le couloir. Enfin, un cri de désespoir et d'un corps qui tombe avait terminé l'acte.

Après avoir analysé les faits, j'en parvins aux conclusions qu'un Chasseur était passé par là. Je pris ensuite le temps d'analyser l'endroit où je me trouvais : au beau milieu d'un carrefour de couloir. La lumière du vide parvenait jusqu'à la tête du cadavre et pas plus loin. Le couloir qui longeait les vitres et était parallèle au mien et à un autre se trouvant cinq mètres plus loin, d'où prévenait des phéromones mais j’étais tellement occupé que cela me traversa l'esprit comme ce que ressent un Rhinolophe qui reçoit un caillou qui effleure son pelage. Les phéromones se rapprochèrent et arrivèrent au carrefour adjacent. Ils se stoppèrent après m'avoir vu. C'était des humains. Il y avait un âgé qui portait des séquelles sur son visage. Il y avait ensuite une femelle, deux jumeaux et un petit, frêle et léger. Ma tête se tourna vers eux et, dans un cri strident, je fis tomber toute la longueur de ma langue sur le sol.

" - Hou ! Il n’a pas l'air commode celui-là ! annonça le petit.
- Je suis d'avis à ce qu'on rebrousse chemin. Proposa la femelle.
- Moi je suis d'avis à ce qu'on court là où on doit aller ! dit un des frères.
- Je veux bien courir mais alors on bute cette saloperie avant ! dit le plus âgé pour finir."

Je ne souffrais plus de la faim, je venais de la calmer, mais l’envie de tuer était toujours présente au fond de mon être, je fis bouger mes jambes qui se déplacèrent vers eux. Quatre mètres nous séparait, être plaqué au sol ne servait à rien. Dans l’espoir de les intimider je me propulsais en arrière grâce à mes bras. Dans la seconde qui suivait, je me retrouvais sur mes deux jambes, légèrement penché en avant et beaucoup plus grand que les humains. Je fis tout ceci en avançant, plus que deux mètres. Ils avaient tous reculé d’environ cinquante centimètres par précaution … Sauf un des jumeaux, tant mieux.

Je fis rentrer ma langue dans la bouche, un silence de dix secondes suivit et, soudainement, je fis jaillir ma langue de ma bouche à la vitesse maximale. Celle-ci traversa le crâne de l’humain le plus proche dans un craquement que son crâne émit quand mon organe le lui transperça. Je fis rentrer ensuite mon précieux organe à son endroit initial, dans ma bouche. Les autres humains avait sauté sur les côtés. Le vieux et le frère qui était maintenant seul à ma droite et la fille et le petit à gauche.

« - Bryan ! cria le jumeau restant.

- Dylan ! Part vers la salle de contrôle pour faire démarrer cette station ! Nous on s’occupe de l’antenne et de la salle des moteurs ! Coombes doit être en train de trouver quelque chose contre l’infection au laboratoire ! dis le vieux.»

Ensuite chaque groupe partit dans une direction opposé, je pris la décision de suivre la femelle et le petit, qui lui, courait très vite. Même trop, il était presque capable de rivaliser avec un Prétorien en pleine course. Ils me remarquèrent rapidement, la femme avait jeté un coup d’œil derrière et m’avait aperçu dans les ombres. Chance pour moi, ils étaient partit dans une section de la station que je connaissais. Et comme je m’y attendais, le couloir tournait à droite au bout, ma tête se tourna instinctivement en haut à droite, en plein milieu du couloir, un conduit me permettait de couper entre les murs et le grillage du plafond qui le bouchait était détruit.

Dans ma course, je pris le temps de prendre de l’élan pour me propulser dans le conduit et courir juste après, ce que je réussis à faire. Le conduit ressortait plus loin devant eux, au plafond. Dans mes forces restante, je fis un sprint que seul ma race était capable de si bien faire à quatre pattes. Je me retrouvais dans les secondes qui suivaient devant eux avec une avance de quelques secondes. J’élevais ma main et l’abattit sur le grillage, celui-ci se cassa sous le choc et me permit de sortir pour m’accrocher au plafond.

Je me mis face aux humains, ils eurent le temps de me regarder. Leur étonnement failli leur ordonné de rebrousser chemin, mais si ils le faisaient, ils seraient morts. Le plus rapide se rapprocha en peu de temps, je baissais ma main pour espérer lui donner un coup de griffe mais j’avais agi trop tôt. Il eût le temps de se baisser et d’esquiver, je me raccrochais de nouveau au plafond donna un coup de queue en direction de la fille. Elle se pencha en avant au dernier moment et je réussis à la blesser à l’épaule. Du sang coulait le long de ma queue.

Elle trébucha et tomba en avant, je me retournais et j’aperçu une porte dans le croisement en T des couloirs. Le petit s’était déjà glisser dedans pour se mettre à l’abri. La femme allait bientôt le rejoindre, il lui tendait la main. J’ordonnais à mon corps de me laisser tomber au sol, je couru vers eux et lança ma langue juste à temps, la femme allait attraper la main de son compagnon. Ma langue s’accrocha à sa jambe et elle tomba en avant, se balafrant le visage sur le grillage qui était maintenant ensanglanté à cause de la blessure à l’épaule et de celles qui venaient de se former sur son visage, elle réussit tout de même à s’agripper au bras de son compagnon.

Je me rapprochais d’eux lentement, la femme poussait des cris pour supplier son ami de l’aider, des larmes coulait sur son visage sanglant. Mais c’était trop tard, je balançais ma queue en avant et elle lui trancha le bras, sous le choc son ami tomba en arrière et ferma la porte, avec le morceau de bras en sa possession. Elle criait de douleur, je la ramenais à moi et mes mains commencèrent à lui griffer le ventre, des giclées de sang transforma le mur noir en mur rouge. Je la balançais sur la porte pour l’assommer, ses cris devenaient insupportables. Sa tête était contre la porte, je donnais un coup finale avec ma queue pour lui transpercer le crâne, je donnais un coup si fort qu’un trou se forma dans la porte derrière la tête.

Les cris se stoppèrent … Un long silence s’en suivit, je baissais la tête pour voir à travers le trou dans le crâne ce qui se trouvait de l’autre côté de la porte. J’aperçus les yeux de l’autre humains, ceux-ci s’écarquillèrent et s’enlevèrent juste à temps pour esquiver ma langue que j’avais rendu solide. Je fis tomber le cadavre au sol et je m’éloignais pour voir si l’humain allait sortir de sa cachette, et se fut chose faite. Je vis la porte s’ouvrir et des yeux remplis de rage et de tristesse tourner vers le corps encore chaud de la morte. J’ouvris la bouche et j’envoyais ma langue vers lui, il recula aussitôt, je fis alors enrouler ma langue autour de la cheville du cadavre et le traina jusqu’à moi. Le petit avait fermé la porte dans un étonnement qui semblait devenir à force habituel.

Je m’éloignais de la porte et me cachais dans un conduit pour dévorer ma proie tranquillement. J’avais satisfait mon envie de tuer … Une trainée de sang marquait mon passage.
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